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SoSHIFT by The Shifters

Les sciences du sujet et de la société, l’autre carburant des idées des Shifters

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  • Valérie GUILLARD, Prendre conscience du gaspillage, une première marche nécessaire vers la sobriété

    « La sobriété consiste à réduire sa consommation. Réduire la perte de l’utilité d’un objet peut donc également s’inscrire dans la sobriété. »
    « en produisant et en consommant local de nombreux emplois pourraient être créés mais ces messages-là sont très peu véhiculés. D’autres études seraient nécessaires pour réduire la désinformation et casser l’imaginaire selon lequel sobriété signifie chômage de masse. »
    « il est inexact de croire que les milieux plus défavorisés ne se sentent pas concernés par l’écologie. »

  • Laurence RAINEAU, comprendre les limites du réseau énergétique

    « Très souvent, la question énergétique ne se pose pas vraiment tant qu’elle n’est pas en prise avec les territoires et nos pratiques locales et que les infrastructures de production ou de distribution ne se laissent pas voir. »
    « D’un côté, il est demandé d’être plus sobre en énergie, mais de l’autre, le système actuel n’impose aucune contrainte qui pourrait permettre aux usagers de comprendre les limites »

  • Marion Bet et Mathieu Saujot, modes de vie : la clé de la transition ?

    « il y a des limites dans la possibilité de traduire nos désirs en actes. »
    « ce ne sont pas les gens qui résistent, mais les environnements et les modes de vie présentent des formes de rigidité qui rendent cette transition difficile à réaliser. »

  • Catherine Larrère, habiter la Terre

    « C’est important de se rendre compte que l’on n’est pas seuls au monde, que nous partageons une même Terre avec d’autres vivants. L’objectif n’est pas seulement de produire mais d’habiter. »
    « On n’y arrivera pas sans tenir compte des inégalités sociales, territoriales, de la nature et des nombreuses initiatives individuelles et collectives »

  • Stéphane Labranche, l’insoutenable contrainte du changement d’habitude

    Portrait dessiné de Stéphane Labranche

    « Si les personnes ne changent pas leurs comportements sur des sujets qui les touchent directement, pourquoi le feraient-ils pour le climat qui est un objet difficilement compréhensible à notre échelle. »
    « De mon point de vue, pour le climat, la solution ne se trouve pas dans une analyse toujours plus poussée des phénomènes physiques qui conduisent au réchauffement mais bien dans nos comportements individuels et collectifs, dans le fonctionnement des organisations et dans les politiques publiques »

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